Terre et mer se confondent, Renouvellement continu des ondes, Avance parmi les mollières, Population rude et fière. Par grand vent, Par joli vent, Du matin au soir, Du soir au matin, Pour assouvir ta faim. Recherche un peu d’espoir, En notre Baie de Somme, Terre des vrais hommes. Sur nous courent les nuages, Course infinie depuis des âges, Ils se reflètent dans l’eau. Nos ciels sont les plus beaux, C’est la baie de Somme Terre des vrais hommes (suite et fin du poème ‘Marée’ en Baie de Somme).